Numéros ?

Bonjour,

Etant connu que les "périodiques" sont numérotés de 1 à 100, que les "journaux" le sont jusqu'à 190 si j'ai bien compris  
Qu'est-ce ce 248 ?

Thierry

Bonjour Thierry,

Il s'agit en fait du timbre à date "normal" du bureau central du 20e arrondissement, bureau qui a été transféré du n° 200 au n° 248 de la rue des Pyrénées le 19 novembre 1930.

Attention, les numéros latéraux (dont on ne connaît pas la signification) dans la couronne des tàd "périodiques" vont au moins jusqu'à 189 et ceux des "journaux" jusqu'à 191.

Bonjour Laurent,

Sans vouloir être jusqu'auboutiste (j'en suis), existe-t-il le 200, 201, 202...pour le même bureau de poste ?

Thierry

Thierry,

Euh... je ne comprends pas la question.

Pour ce timbre-poste détaché, c'est l'adresse du bureau, donc le 248 ne change pas depuis 1930.
Pour ceux des journaux et périodiques, c'est principalement la Recette Principale de la Rue du Louvre qui utilisait ces timbres à date avec des nombres latéraux dans la couronne, mais je ne pense pas que ces nombres atteignent le seuil de 200.

Laurent,
Ce que je veux dire c'est que : le bureau étant transféré du 200 au 248 de cette rue, pourquoi est-ce le n° 248 qui est imprimé sur le cachet ? Et pourquoi pas le 247 ?

Thierry

Parce que le bureau a déménagé à ce numéro-là et que l'inscrire dans la couronne permet aux postiers de faire comprendre qu'ils ne sont plus au n° 200...
C'est vrai que c'est plutôt l'exception dans les timbres à date mais cela se justifie ici.

Excusez-moi mais j'avais compris que le bureau de poste se trouvait du N° 200 au N° 248. Ce qui ne m'étonnais pas car j'habite dans dans une ville où les numéros de maisons ne sont pas attribués à la construction mais au mètre. J' habites au 5.. d'une rue parce que ma porte est à 500 mètres du début de la rue et non pas parce que c'est la 500 ème maison de la rue. C'est le numérotage métrique.

Thierry