Bar le Duc scoop

bonjour à toul'monde
ce matin Daniel 91 nous a trouvé un scoop
BAR le DUC en solo inconnu jusqu'à maintenant
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bravo pour Daniel et si vous en connaissez d'autressss je suis preneur
bonne journée à tous
Pescator

Bonjour Mr Pescator et tous

Chacun peut voir l'avantage d'un Daguin double pour l'oblitération ( un seul appui sur la machine ....) .
Mais où était l'avantage , pour les postiers , d'être obligés d'appuyer deux fois de suite pour avoir un double solo ?????

Exactement comme avec un TAD manuel !!!!!!!!!

Merci de ton avis circonstancié ...

Andres

Bonjour,

Ils n'avaient qu'un seul dateur à changer!

bjr à tous
Naguito , sincèrement ,je ne vois pas

Laurent dit: ils n'avaient qu'un seul dateur à changer
certes; mais dans le cas d'un tàd manuel aussi et il devaient taper deux fois pareil


à mon avis, bien malin celui qui pourra dire le pourquoi de la chose

pescator

bonjour,

avec un timbre manuel, il y a deux phases :

d'abord le planter de bâton l'encrage, ensuite la frappe.

L'utilisation de la machine à timbrer évite la phase "encrage", ce qui gagne déjà la moitié du temps, en théorie.

D'autre part, la Daguin était certainement aussi utilisée pour le timbrage à l'arrivée, avec un seul timbre nécessaire. Du coup, certains directeurs ont dû trouver plus simple de la laisser en borgne pour timbrer aussi au départ.

A mon humble avis ...

D.

bonjour Doudad
ok pour ta théorie
mais alors dans le cas de Nimes (que je montre dans le fil d'à coté) dont on connait les jumelés en arrivée, pourquoi trouve t on aussi un solo? si c'en est un
pescator

Le jumelage en arrivée est inutile, et dans ce cas-là, c'est probablement l'inverse de ce qui a été dit plus haut qui c'est passé : la machine montée en double pour le timbrage au départ a aussi servi en double pour l'arrivée ; ça ne mange pas de pain, comme dit l'autre.

D'un côté il y a le respect de la procédure, de l'autre la facilité de la tâche. Tout dépend de l'opérateur, des circonstances, etc ... Il est aussi possible (ce serait logique) que dans les grosses recettes, certaines machines aient été montées en solo pour l'arrivée et d'autres en double pour le départ, sans que rien n'interdise de les utiliser différemment, selon les nécessités du moment. Sur un gros bureau dont on connaît beaucoup de marques, il serait intéressant de déterminer si ce sont toujours les mêmes timbres qui ont servi en solo sur une période donnée, mais pas en duo, par exemple.

D.

"on" va essayer de s'y coller
mais je garantis rien
pescator

Pour compléter les judicieuses remarques de Doudad, je signalerai que, dans les grands bureaux, le timbrage au départ par la machine à oblitérer était prioritaire et que, souvent, il existait un préposé spécifique chargé d'utiliser ladite machine. Celui-ci ne disposait pas forcément de timbre à date manuel qui était employé par d'autres postiers du bureau.
D'autre part, la Daguin (en jumelé) monopolisait deux tàd et de nombreux bureaux ont dû remarquer que cela empêchait les autres postiers de s'en servir, alors qu'un préposé doué pouvait très bien timbrer deux fois à la Daguin sans perdre beaucoup de temps.
Par efficacité et pragmatisme, le matériel et les rôles étaient répartis pour les moments de "coup de bourre".