Eclairage indispensable

Nombre de messages : 74 Localisation : Lyon Date d'inscription : 04/01/2014

Bonsoir,

Après l’introduction de la circulaire n°177 du 27 octobre 1972 où l’Administration des Postes en définit ainsi l’objet : « …il a paru nécessaire de préciser certains points de la réglementation actuelle et définir de nouvelles règles concernant l’identification des établissements… », ainsi commence la circulaire : A – DENOMINATION DES RECETTES DE PLEIN EXERCICE ET DES RECETTES DISTRIBUTIONS. La dénomination des recettes de Plein exercice est reprise aux paragraphes 1°) 2°) & 3°). Mais qu’en est-il des RECETTES DISTRIBUTIONS : il ne reste que le paragraphe 4°) - cas particuliers ?. Dois-je comprendre qu’une recette distribution n’est pas une RECETTE DE PLEIN EXERCICE, ni un GUICHET ANNEXE (chapitre B), ni un ETABLISSEMENT SECONDAIRE (chapitre C) ?. Je traduis donc ce qu'une recette distribution n'est pas mais pas ce qu'elle !. N’y aurait-il pas une définition plus positive ?. A moins que je n’ai vraiment rien compris à cette circulaire.
Merci pour vos compléments
Cordialement

FH

Les recettes-distributions sont bien des établissements secondaires (art. 308 de l'instruction des directions, édition de 1983) mais leur création, comme celle des recettes de plein exercice, est du ressort de l'administration centrale à Paris, alors que celle des autres établissements secondaires relève du chef de service régional.

Nombre de messages : 74 Localisation : Lyon Date d'inscription : 04/01/2014

Bonsoir,
Merci pour cette confirmation.
Mais pour moi, un bureau secondaire est un bureau rattaché à une Recette de Plein Exercice dont une abréviation telle que GA annexe etc… vient souligner le caractère secondaire du bureau. Hors, il n’en est rien sauf cas particuliers (paragraphe 4° de la susdite circulaire).
De plus, de la « lettre de la DG » du 21 novembre 1986, je déduis que les recettes distribution ont à leur tête un receveur distribution de catégorie C qui deviendra, au environ du 1 janvier 1986, un receveur rural de catégorie B. Je me dis que cette recette distribution a des caractéristiques d’une RPE et si je comprends bien, une autonomie comptable et donc devrait se rattacher directement à la RP de son département. Qu’en est-il réellement ?. Je pense aussi que cette organisation est spécifique des zones rurales.
Merci pour les compléments.
Cordialement

FH

Bonsoir,

Lorsque l'administration classe ces bureaux comme "secondaires", c'est simplement parce qu'ils n'ont pas toutes les compétences. Seules les recettes de plein exercice participent à certains services (assurances, retraites, etc.) qui n'ont rien à voir avec le courrier, le téléphone ou le télégraphe.
Les receveurs-distributeurs (anciennement facteurs-receveurs, puis effectivement dénommés receveurs ruraux à partir du 25 février 1986) doivent assurer à la fois le travail de distribution et celui de guichet, ce que n'exerce jamais un receveur d'un bureau de plein exercice.
Par cette double fonction, leur présence est, bien sûr, nécessaire en milieu rural alors que, en ville, le service de distribution pouvait être assuré par un seul service dépendant d'une recette principale.

Sujet: Re: Eclairage indispensable Mar 1 Mar 2016 - 19:24

merci pour toutes ces précisions.
Cordialement

FH

Sujet: Re: Eclairage indispensable Dim 13 Mar 2016 - 19:15

Bonsoir,
Nonobstant le fait de ne pas être décidé par la même hiérarchie postale, quelles sont les différences tant postales etc.. entre une Recette distribution et un bureau de poste tel que celui de Villers Farlay GA que je présentais dans un précédent message que, d’ailleurs, j’avais très mal situé.

https://collections.forumgratuit.org/t12152-cachet-villers-farlay-39

Je ne l’avais pas interprété comme une recette distribution mais comme un bureau rattaché à une RPE que je n’ai pu, à ce jour, déterminée. En d’autres termes pourquoi créer une Recette distribution au lieu d’un GA et vice – versa
Merci pour les compléments.
Cordialement

FH

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