Bonjour,
Je suis bien perplexe devant cette empreinte.
Pour en revenir au détail de l'empreinte de Paris 81 dont parle Marcorse, la situation n'est pas la même. En effet, les lignes ondulées et le D qui va avec, sont solidaires de tôles ondulées soudées sur l'axe du porte-timbre. Le fait que ce soit de la tôle qui peut se tordre sans se casser explique que cet assemblage « contre nature » (pour Paris 81) puisse tenir. Pour combien de temps, c'est un autre problème.
Pour la machine de Paris XVII, une rupture éventuelle de la pièce gravée ne peut pas donner une situation comme celle qui nous pose problème. Je vois mal une partie du texte de la pièce gravée se détacher partiellement et rester — un moment — solidaire de la flamme. (N'oublions pas qu'il s'agit d'une pièce en acier cémenté). En outre, à la vitesse à laquelle tourne le porte-timbre, le morceau comportant les lettres DIP aurait été éjecté immédiatement et vigoureusement.
Bref, je n'ai pas d'explication, surtout sans avoir le document en main.
Lulu.