Bonjour à tous,
Toujours la même question, comment nommer les différentes oblitérations.
A1, A2, A3, etc… ou R84, R01, R04…
Type 17, 17 bis, 18, 19, 20…
J’ai eu des contacts avec un ancien marchand, grand marcophile, qui faisait mine de ne pas comprendre ma façon de nommer le tàd avec le nom du département dans la partie inférieure de la couronne, les deux cercles continus faisant office de contour entre ces indications et les parties mobiles comprenant la section.
Cet homme restait sur le type 17bis, utilisé depuis les années 60, ce qui n’est pas un reproche, le seul serait de sembler ignorer les autres nomenclatures.
Je replace le texte mis dans le document concernant le type 20, extrait des
Feuilles Marcophiles de 1987 :
http://aremorica.free.fr/divers/etoile/index.php
Cependant M. Mathieu répondra dans le numéro suivant en indiquant que le type 18 est bien la référence à prendre en compte par les marcophiles, puisqu’elle est utilisée par le plus grand nombre.De même le cachet de 1877 de 22mm ou moins, doit prendre la dénomination de type 18bis.Cependant, puisque je travaille sur les tàd dans la partie marcophile de mon site, j’ai vu pas mal de chose, et il est vrai que les types A1, A2, A3 ne me semble pas vraiment adapté.
En effet la seule différence qui existe entre un A1 et un A2 c’est ce qui est mis à l’intérieur, et franchement pour un novice, ce n’est pas formidable.
De plus un tàd qui possède des éléments de l’un et de l’autre reste en A1 mais il faut ajouter un m, pour mixte.
Dans cet ordre d’idée il aurait été préférable d’avoir un type A1, par exemple avec r pour romains, b, pour bâtons, m pour mixtes, h pour horaires, et c pour chiffres.
Au changement de format, il était possible de passer au A2, etc…
Mais là encore, ce n’est pas terrible, c’est pourquoi, comme me le signalait François (des Daguins), la nomenclature utilisé
e par Barthelemy est plus adaptée, du moins plus facile à comprendre.
En effet R84 avec r, m, b, h, c, s’adapte avec Recette de 1884.
Encore faut-il préciser les différends diamètres que l’on peut rencontrer sur ces différents tàd.
De ce fait, je rectifierai au fur et à mesure mes données.
Pour le type 17, je reste cette référence, 17bis pourrait-être adapté aux couronnes comprenant la localité, ainsi qu’une information autre que le département dans la partie inférieure, comme MARSEILLE$COURS DU CHAPITRE disponible bien avant l’instruction concernant le remplacement du département numérique par le nom.
Type 18 me va également pour le département abrégé ou pas dans la partie inférieure, avec r, b, m, et autres si nécessaire, pour les éléments mobiles.
Le type 19 représente le changement de format, mais j’en profites pour y inclure l’augmentation de diamètre avec les 24mm et plus rencontré dans ces tàd.
Le type 20 représente les peu nombreux bureaux ayant utilisés un séparateur entre le nom de leurs localités et le nom du département.
J’en reste là pour le moment.
J’ai donc profité de quelques travaux sur mon site pour y inclure des images des types 20, et par la même occasion sur les Daguins, surtout sur mon terrain de prédilection, c’est-à-dire la période des Sage.
Le but n’est pas de concurrencer le travail de notre ami François, les éléments mobiles ne m’intéressant pas vraiment, puisqu’il peuvent être montés à l’envers, utilisés à n’importe quelle période, le seul élément qui m’intéresse c’est la couronne, s’il y a des changements dans le texte, là, ça m’intéresse.
De plus la première date rencontrée et la seule qui est intéressante à mon goût, elle signifie que la machine Daguin a été placée dans le bureau, le reste étant anecdotique, et intéressant pour une monographie locale par exemple.
A ce sujet j’aurais tendance à croire que la machine a été délivré dans beaucoup de bureaux en même temps que le type R84r, car bien des bureaux commencent l’utilisation d’une Daguin avec ce tàd.
De là à croire que l’utilisation ne convient pas à tout le monde, et que la machine fût mise de côté dans certains bureaux ?
Voilà, je suis donc preneur de dates avec présentation de l’empreinte, même si je ne la présente pas, suivant le cas, avec le nom du découvreur où de la collection, si je n’ai pas mieux.
Voici un exemple pour le bureau de Gray, dont j’ai une empreinte du 27/03/1886.
http://aremorica.free.fr/divers/marques/codednews.php?liste1=-1&id_type=5&dag=1&avoir=tous&recherche=gray#topcherche
On voit que Barthélémy avait référencé un R84r du 04/03/1886, donc meilleure date à ce jour pour ce bureau.
Voici le détail des options de recherches possibles :
1-
1- Choix du département, pour limiter le nombre de résultats.
2-
2- Choix du type de Tàd : Quelques choix possibles, notamment le type 20, (j’en reparle).
3-
3- Uniquement avec daguin : ça simplifie la recherche de ce type d’oblitération.
4-
4- La recherche par défaut ne prend en compte que les oblitérations concernant la période du Sage, (j’ai moins de connaissance sur les autres périodes, mais j’y travaille).
5-
5- Il est possible de faire la recherche avec le début du mot, la fin du mot, à tester…
Une fois que la recherche est lancée, dans les résultats, s’il y a des Daguins, un oui s’affiche.
6-
6- En cliquant sur le « oui » surligné, des informations s’ajoutent provenant de la table Daguin.
En ce qui concerne les 200 tàd aux types 20 recensés, des images sont disponibles dans le même principe que pour les Daguins :
http://aremorica.free.fr/divers/marques/codednews.php?liste1=-1&id_type=20&avoir=tous&recherche=luneville#topcherche
La base de données concernant les communes de France, comprend de base les 36000 communes.
Un peu moins de la moitié d’entre-elles ont eu un bureau de poste, mais certaines ont été regroupées, ou le nom en a changée, de plus certaines communes ayant beaucoup de bureaux, aujourd’hui la base de données dépasse les 44000 lignes.
Et avec les modifications quotidiennes, ce chiffre augmentera régulièrement.
Merci de vos retours, ces outils me servent d’abord, mais sont à dispositions, n’hésitez pas à vous en servir, et à le faire savoir, si tel est le cas.
Merci encore,
Michel.