Bonjour,
la détaxe des lettres afférentes au service des postes a parfois généré des abus, certains ayants-droit recevant de la correspondance personnelle ou en "transit". Exemple ici, trouvé sur D* :
Landerneau, 4 mars 1816, lettre adressé au dénommé Girardot, chef de bureau au départ à l'hôtel des postes de Paris. Connaissant la règlementation, l'expéditeur a péremptoirement barré la suscription, réclamant la franchise de port. La lettre a pourtant visiblement été taxée en arrivée...
Il faut dire qu'elle contient une lettre à faire suivre...
... si possible sans la taxer, si j'ai bien compris :
Manifestement, le taxateur à l'arrivée était au courant de cette combine (on trouve d'autres lettres de ce type pour Girardot sur D*) et ne l'entendait pas de cette oreille...
L.