Interprétation d'une EMA : Taxe ? Complément d’affranchissement ou autre ?

Bonjour,
 
Je sollicite un peu d’aide pour la compréhension de cette lettre.
 














Eléments de compréhension :
 
Ø  Un affranchissement à 2,20 F le 3 mars 1988 pour une lettre de Marseille à Marseille.
Ø  Refusé : retour à l’envoyeur
Ø  CAD de retour le 4 mars 1988.
 
Normalement jusqu’ici tout va bien, c’est à partir de là que je perds le fil ; à quoi pourrait correspondre l’EMA à 1,50 F datée du 5 mars 1988 ?
 
Ø  S’il s’agissait d’un nouvel affranchissement, il serait à nouveau insuffisant.
Ø  S’il s’agissait d’un « accord » pour un complément d’affranchissement 0,50 F aurait suffi ?
 
Quelqu’un a-t-il une réponse ?
 
Merci
Jean-Samuel

Bonjour,

Je n'ai pas l'explication du montant (1,50 F) de l'étiquette.

Le tàd du verso (Bd Sauvan) est celui du bureau desservant le destinataire (service des impôts). Il a effectivement dû taxer à 4 F, je suis d'accord avec ton calcul de la taxe.

Les impôts refusent toujours (à ma connaissance) le courrier taxé --> annulation des timbres-taxe par la griffe "Refusé" et retour à l'envoyeur via le bureau de Marseille Chateau-Gombert (proche de la rue des Chars). C'est ce bureau qui a apposé le 5 mars l'étiquette 1,50 F. Logiquement il aurait dû retaxer à 4 F et utiliser son tàd.

Etrange...

Bruno