Un PARIS tenu

Bonjour - Je sais que ce n'est pas votre tasse de thé,et que cela vole au ras de l'eau ( Hydravion )mais il faut de tout pour faire un monde.
Qu'en est-il de l'affranchissement de cet entier ?
1er vol par hydravion Bordeaux - Biscarosse - Fort de France - Pointe à Pitre du 9 Décembre 1935. Le Lieutenant de Vaisseau Paris est le nom de l'hydravion.
René
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Bonjour Glen,

tout ce que je peux dire, c'est que ce premier vol est référencé sous le numéro 361 par Franck MULLER, avec une cote de 400F en 1950...
trajet: Bordeaux - Dakar - Natal - Fort-de-France.

Cordialement.

bonjour,

glen a écrit:

Qu'en est-il de l'affranchissement de cet entier ?

à vue de nez, et sans garantie, je dirais 40 centimes pour la CP intérieure (9/8/1926), et 5 francs pour l'avion (sept. 35) ... ceci bien que le tarif avion soit censé être routé par New-York.

Qui dit mieux ? Je n'ai pas trouvé d'indication de tarif spécial pour ce vol spécial dans le BM. Et où est la taxe de P.R. ?

D.

Merci Marcorse et Doudad,mais pour prolonger : quand la carte arrivait Poste restante et que personne ne la réclamait,au bout de quel délai celle-ci la renvoyait-elle à l'expéditeur,existait-il un reglement sur les délais ?
René

La date d'expiration du délai de garde d'un objet adressé en poste restante est la fin de la quinzaine suivante.
Quant à la perception de la taxe, elle se faisait en principe au moment où le destinataire retirait l'objet.
C'est la raison pour laquelle très peu de plis aérophilatéliques ainsi adressés et qui revenaient à leur expéditeur comportent une taxe matérialisée;

Merci Laurent - c'est sans doute de la marcophilie de base,mais je ne devait pas être le seul à l'ignorer.
René

Laurent Bonnefoy a écrit:

C'est la raison pour laquelle très peu de plis aérophilatéliques ainsi adressés et qui revenaient à leur expéditeur comportent une taxe matérialisée;

Voui, mais le but du jeu, c'était que l'expéditeur récupère son joli pli à la fin, donc il fallait bien qu'il paye la taxe de PR demandée à l'aller, non ? Ou le retour à l'envoyeur l'en exemptait ?

D.

C'est plus subtil que cela et ces philatélistes en ont profité: c'est au destinataire de payer la taxe (sauf si l'expéditeur l'a avancée pour lui en affranchissant l'envoi en conséquence).
Ainsi, si l'envoi n'est pas retiré, il n'y a pas lieu de réclamer la taxe, aucun article de l'instruction générale ne prévoyant que cette taxe soit due par l'expéditeur a posteriori (au retour). Les Postes rendent donc un service de garde du courrier sans pouvoir se faire rémunérer. C'était le cas en outre pour le transport du retour mais c'est désormais terminé (en principe depuis le 1er juillet 2010).

Laurent Bonnefoy a écrit:

Ainsi, si l'envoi n'est pas retiré, il n'y a pas lieu de réclamer la taxe, aucun article de l'instruction générale ne prévoyant que cette taxe soit due par l'expéditeur a posteriori (au retour). Les Postes rendent donc un service de garde du courrier sans pouvoir se faire rémunérer. C'était le cas en outre pour le transport du retour mais c'est désormais terminé (en principe depuis le 1er juillet 2010).

Bonsoir,

Eh oui et notre pauvre Casque à Boulon a perdu une de ses marottes!

François

Quelques explications sur les manifestations du Tricenaire ( 1935 ) , extraites de mon sujet " Ouverture de la ligne aérienne France - Martinique "

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