Qui a déjà vu ce type de marque FD ?

Il existe plusieurs façons d'indiquer qu'un pli est arrivé en fausse direction ; mention manuscrite, griffe — manuelle — avec la mention FD, apposition mécanique d'une empreinte FD comportant ou non, un bloc rectangulaire pour annuler les premiers tirets de l'indexation.
Mais je n'avais jamais vu utiliser une machine à affranchir pour ce faire. Quelqu'un connaît-il cette procédure ? Et pendant que j'y suis, quelqu'un connaîtrait-il le bureau de rattachement de cette machine à affranchir (une Pitney-Bowes) ?
Lulu
P. S. Il n'y a aucune mention au verso du pli.

Bonjorur,

J(ai une enveloppe - mais je ne suis pas chez moi actuellement _- avec une empreinte assez similaire du bureau de ROUBAIX.

J(ai vu - mais je ne sais plus où - que pas mal de lettres mal dirigées était acheminées sur ce centre en raison des grands nombres de courrier vers les sociétés de vente par correspondance.

Cordialement.

Jean Pierre.

Jean-Pierre LALAU a écrit:

J'ai une enveloppe - mais je ne suis pas chez moi actuellement - avec une empreinte assez similaire du bureau de ROUBAIX. J'ai vu - mais je ne sais plus où - que pas mal de lettres mal dirigées était acheminées sur ce centre en raison des grands nombres de courrier vers les sociétés de vente par correspondance.

Les empreintes de Roubaix, et Tourcoing, apposées par une machine Sécap, sont bien connues. Elles sont du même type que celle de Versailles, également apposée par une machine Sécap. En voici une autre (machine Mégras) d'Avignon République qui, elle, ne peut pas barrer les tirets d'indexation. Il est exact que les bureaux de Roubaix et Tourcoing qui traitent le courrier à destination des nombreux organisme de vente par correspondance a utilisé ce type de marque de fausse direction. Le nombre de FD journalières avoisine les 5000 !
Lulu

Lulu a écrit:

Il est exact que les bureaux de Roubaix et Tourcoing qui traitent le courrier à destination des nombreux organisme de vente par correspondance a utilisé ce type de marque de fausse direction.
Lulu

Il faut lire bien évidemment : ont utilisé, et non « a utilisé » !
Lulu

Bonjour,

Il est probable que le bureau d'attache soit AMIENS CTC.
Ce bloc publicitaire tend à démontrer que cette machine à affranchir a été récupérée par La Poste amiénoise pour son propre compte, ce qui est réellement inhabituel, surtout pour une machine BH.
Elle a pu être récupérée dans une entreprise qui a fait faillite et PITNEY BOWES ne l'a pas réclamée.
Cela n'a pas, à ma connaissance, été signalé à l'ACEMA.
Lulu, il faut montrer cela à Luc: tu t'en charges ou je le fais?

Laurent a écrit : « Lulu, il faut montrer cela à Luc : tu t'en charges ou je le fais ? »
Je m'en charge.
Lulu

Bonjour,
Après avoir contacté Luc  (Guillard) au sujet de cette marque FD, on peut dire la chose suivante.
La machine en question était implantée à Amiens CTC.
Il s'agit très certainement d'une machine à affranchir pour le compte de tiers (une MACT). Cette machine — à très gros débit — permet d'afficher une flamme parmi trois en mémoire. Ainsi, cette machine en question aurait été utilisée pour les affranchissements de son ressort, et, quand cela était nécessaire, pour apposer la marque FD, avec affranchissement à zéro.  Cette deuxième utilisation concernait, à l'évidence, beaucoup moins de plis.
Amiens CTC est le seul établissement recensé à ce jour à avoir utilisé une telle machine de cette manière.
P. S. Actuellement, les seules machines MACT, sont les machines SATAS (SY), HY (Neopost) et  MB (Secap groupe Piney-Bowes)… qui sont seules habilitées à réaliser les envois  anciennement désignés par envois en port payé (portant, d'une manière ou d'une autre les deux lettres PP).
Lulu