...
En attendant l'arrivée des spécialistes, je vais essayer de répondre à la question de la "petite Annie".
Dans un "mémoire professionnel" ("
Éducation et enseignement sous le régime de Vichy 1940-1944"
*) Stéphanie Calcagni écrit page 17
Le baccalauréat qui se passait en deux ans n'était, réellement, validé que par son obtention à la fin de la classe terminale (Math. ou Philo). La 1ère partie n'étant, en quelque sorte qu'un examen probatoire.
La survivance de cet état de fait se retrouve, peu ou prou, aujourd'hui dans l'examen du "bac français".
On peut donc imaginer que la "petite Annie" n'ait eu d'autre solution que de supporter un an de plus Mademoiselle Thérèse.
À bientôt.
Michel
qui, en ce jour des "Droits des Femmes", vous donne un peu de lecture
*** https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01064051/document
** https://journals.openedition.org/clio/612