Publicité SUR les timbres ....

Bonjour

J'ai jeté un coup d'oeil sur une revue "La Philatélie Française " , de la Fédération Française des Associations Philatéliques .( N° 650 ) .
Dans cette revue "officielle" , un article sur une particularité dont , au premier r'abord on n'a jamais parlé ici , la publicité pharmaceutique au dos des timbres ...
Intéressant , même pour un non philatéliste comme moi !!!!!!!!!!!!!

Et une découverte , cet organe officiel appelle Recto le côté image des timbres ...et bien sur Verso le côté gomme où se trouve la pub; !!!!!!!!!!!!!!!

C'était juste une petite remarque au passage ....

D'autres articles intéressants , comme par exemple " les empreintes de machines à affranchir " .

Voilà , c'était juste une information !

Bon dimanche

Andres

bonjour Mon QM-1,

naguito a écrit:

Et une découverte , cet organe officiel appelle Recto le côté image des timbres ...

oui, c'est logique, le recto du timbre-poste apparaît sur le recto de la carte-postale, côté adresse. Tout s'enchaîne parfaitement, merci pour cette confirmation officielle.

D. (QM-H en passe d'être dégradé, boutons arrachées, et Paulette retirée)

Salut Andrès.

Sans connaitre l'article, j'avais fait une réponse en 2011 sur le forum de D* sur le même sujet:

"Je cite:
"Revenons, pour terminer, à la pharmacie proprement dite, plus précisément à une curieuse forme de publicité pharmaceutique, avec l'article de George Griffenha- gen Behind the drug aids, A french drug firm advertised on stamp backs (in Stamp Collector, 9 nov. 1981). Dans les années 1960-1965, les Laboratoires Veyron-Froment, de Marseille, fondés en 1954, firent revivre le procédé appliqué en Nouvelle-Zélande à la fin du siècle dernier et qui consistait à imprimer de la publicité au dos de timbres. La différence est qu'en Nouvelle-Zélande ces derniers étaient destinés à l'affranchissement réel du courrier, tandis que ceux de la maison Veyron-Froment étaient distribués aux médecins et n'avaient pas cours en France. La plupart sont, en effet, des figurines des anciennes possessions françaises d'Afrique et quelques-unes des figurines de Pologne, Roumanie et Saint-Marin ->- toutes de faible valeur faciale.

Griffenhagen en répertorie au total près d'une quarantaine. La publicité portée sur leur dos se limite le plus souvent au nom du produit, mais ce nom est parfois accompagné d'un court texte. Voici le relevé de ces inscriptions :

Aparoxal Arginine Veyron

Arthrodon Argynine Veyron-Froment

Arginine Froment I reprotéinisant I antiammoniémique

Viberol Thyrothricine

Viherol Thyrothricine I après toute I avulsion"


Julien Pierre. Question CXX, Pharmacie et philatélie. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 76e année, N. 276, 1988. pp. 114-132."
Comme je vois que dès potron-minet tu te préoccupes du recto/verso, ne confonds pas pilule et suppositoire, ça laisse un goût amer en bouche !

Norbert.

Merci de ces précisions ...

Il faut signaler également que cette pub. existait également au Verso des enveloppes "Premier jour " ....

Doudad a écrit:

...et Paulette retirée

C'est pas grave Doudad, Paulette elle a les bas qui plissent...

A bientôt.
Michel

... mais Paulette ne porte PAS de bas !

Labroquerie a écrit:

Doudad a écrit:

...et Paulette retirée

C'est pas grave Doudad, Paulette elle a les bas qui plissent...

Doudad a écrit:

... mais Paulette ne porte PAS de bas !

Pour ceux qui comme moi n'auraient pas percuté d'emblée ces fines allusions,

Et puis elle est moche, Paulette. Le jour où je regarde ses jambes je lui dis, t'a tes bas qui plissent. Elle me retourne une claque, elle n'avait pas de bas. Guy Bedos.

Sébastienne est un cas différent : Elle a des bas, mais pas besoin de jarretelles.

Bruno

Bonjour,

Pour mettre tout le monde d'accord, voici des cartes qui présentent de la pub sur le RECTO et sur le VERSO





Pub pour d'un coté; pub contre de l'autre

Cordialement.

Jean Pierre

celà s'appelle , "l'art du compromis " ...

Non , non , pas de la compromission !!!!

nirvana a écrit:

Salut Andrès.

Sans connaitre l'article, j'avais fait une réponse en 2011 sur le forum de D* sur le même sujet:

"Je cite:
"Revenons, pour terminer, à la pharmacie proprement dite, plus précisément à une curieuse forme de publicité pharmaceutique, avec l'article de George Griffenha- gen Behind the drug aids, A french drug firm advertised on stamp backs (in Stamp Collector, 9 nov. 1981). Dans les années 1960-1965, les Laboratoires Veyron-Froment, de Marseille, fondés en 1954, firent revivre le procédé appliqué en Nouvelle-Zélande à la fin du siècle dernier et qui consistait à imprimer de la publicité au dos de timbres. La différence est qu'en Nouvelle-Zélande ces derniers étaient destinés à l'affranchissement réel du courrier, tandis que ceux de la maison Veyron-Froment étaient distribués aux médecins et n'avaient pas cours en France. La plupart sont, en effet, des figurines des anciennes possessions françaises d'Afrique et quelques-unes des figurines de Pologne, Roumanie et Saint-Marin ->- toutes de faible valeur faciale.

Griffenhagen en répertorie au total près d'une quarantaine. La publicité portée sur leur dos se limite le plus souvent au nom du produit, mais ce nom est parfois accompagné d'un court texte. Voici le relevé de ces inscriptions :

Aparoxal Arginine Veyron

Arthrodon Argynine Veyron-Froment

Arginine Froment I reprotéinisant I antiammoniémique

Viberol Thyrothricine

Viherol Thyrothricine I après toute I avulsion"


Julien Pierre. Question CXX, Pharmacie et philatélie. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 76e année, N. 276, 1988. pp. 114-132."
Comme je vois que dès potron-minet tu te préoccupes du recto/verso, ne confonds pas pilule et suppositoire, ça laisse un goût amer en bouche !

Norbert.

Merci pour cette très utile synthèse : faut-il alors les considérer comme des vignettes

bc92 a écrit:

Sébastienne est un cas différent : Elle a des bas, mais pas besoin de jarretelles.

Au bout de six ans, je viens tout juste de comprendre : c'est parce qu'ils se tiennent tout seuls !

D.

Doudad a écrit:

bc92 a écrit:

Sébastienne est un cas différent : Elle a des bas, mais pas besoin de jarretelles.

Au bout de six ans, je viens tout juste de comprendre : c'est parce qu'ils se tiennent tout seuls !

Il est vraiment,
Il est vraiment,
Il est vraiment phé-no-mé-nal...

(Doudad bien sûr).

Bruno