article paru dans les documents philateliques

Merci DOUDAD pour cette synthèse de 17 pages parue dans le N°243 des DP du 1ier trimestre 2020

Oui, lui et PHO ont pris tellement de place dans ce numéro que mon article a été écarté  
Mais je reconnais sincèrement que leurs articles respectifs en valaient vraiment la peine

Battu largement aux points (pages) par JF... En plus seul contre trois...!!
Il y aura un complément car nous avons fait de nouvelles découvertes sur 2-3 tirages charnières.
L'article est une superbe synthèse d'un beau travail en équipe sur quasiment 6 mois.

Désolé si j'ai pris tout le lit .

En fait, je n'aurais jamais dû écrire cet article, le spécialiste des LE, c'était Bernard, mais les circonstances ont fait que.

Malgré les efforts de JC (qu'il soit encore remercié, ce n'était pas facile), les archives de Bernard n'ont pas pu être récupérées (pourtant il devait y avoir de quoi rédiger ...), du coup, lorsque Laurent m'a communiqué ce qu'il a trouvé aux archives (et qu'il avait antérieurement envoyé à Bernard) en me demandant ce que je pouvais en faire, je me suis trouvé un peu sec pour écrire quelque chose de spécifique (et d'original, compte-tenu de l'abondante littérature déjà existante).

Donc le résultat est un croisement improbable entre un de mes vieux sujets de prédilection (les levées spéciales, qui n'avaient pas été trop explorées jusqu'à présent, sauf erreur), les recherches de Laurent sur les LE (avec de l'inédit), et le développement d'un sujet très intéressant et méconnu, à peine (et très mal, à notre avis commun) évoqué par Schaff et Donnadieu dans les FM 366, à propos des achemineurs privés et leur impact indéniable sur la législation des LE.

Bernard aurait sans nul doute fait ça beaucoup mieux que moi, mais bon, comme on dit, le plus belle fille du monde ...

J'ajoute que nous avions co-écrit pour Documents Philatélique il y a quelques années, et que ça avait été un régal de travailler avec lui, vu sa rigueur dans la recherche et son sens de l'analyse, très impressionnant pour un foutraque dans mon genre (j'avais apporté en complément mon goût pour la tournure élégante et une légère touche poétique).

D.

Bonsoir,

Reçu également aujourd'hui ce numéro des DP.

Ce qui rend l'article de J-F particulièrement intéressant, outre les éclairages qu'il apporte, c'est le suivi du même sujet sur 50-60 ans. Ce n'est pas si fréquent, là où beaucoup d'auteurs se sont imposés 1876 comme date de fin - ou de début - peut-être parce qu'on est philatéliste avant de s'intéresser à l'histoire postale.

Bruno

Bonjour à tous et bises aux dames,

Et bien, personnellement, je n'ai rien reçu!  
Déjà que depuis des mois ma rue (comme au moins 50%* des rues marseillaises) fait l'objet de travaux de restructuration-réaménagement**, au point que les élections approchant... "ils" travaillent la nuit, si en plus le facteur ne passe plus... je vais craquer  
Enfin, comme ce n'est pas mon genre de parler pour ne rien dire...


A bientôt.
Michel
* peut-être un peu moins, mais les travaux ont lieu dans tous les quartiers de la ville!!!
** dont l'une des raisons (avouées) est de réduire les places de stationnement!

... les travaux de nuit sont terminés, parait-il.
Beaucoup plus important le facteur est passé!
Je vais donc pouvoir me pencher sur ce courrier de la dernière minute

A bientôt.
Michel

N'attends pas la dernière seconde !

D.

Je crois que tu exagères.
Déjà des employés de la voirie qui travaillent beaucoup, c'est déjà un oxymore.
Ensuite des marseillais qui travaillent beaucoup, c'est un autre oxymore.
Alors tu vois deux dans la même phrase c'est un exploit.



Allez, je galéje comme on dit  à Marseille  et aux Marseillais et aux employés municipaux.
(J'ai pas pu m’empêcher).

En effet, l'article est super et très complet.
Félicitations Monsieur Doudad.

...
Je n'ai pas attendu la dernière seconde JF!
J'ai pris tout mon temps pour lire... et relire (mais oui! il et comme cela le Michel) ton exposé, particulièrement copieux.
Et bien, je dois à la vérité de dire que je n'ai rien trouvé d'exceptionnel.
Je précise: parmi les lettres que je possède!
La seule qui aurait pu... Ambulant de nuit, tàd de la 1ère levée à l'arrivée


et bien non! Le bureau 79 (hors-liste) n'a droit à rien; du coup il boude et prend une journée pour acheminer cette lettre  jusqu'à la gare de l'Est


Plaisanterie mise à part et attendu que je m'intéresse surtout aux obl. de Paris sur type Sage détaché, il y avait peu de chance. J'ai bien quelques lettres mais le hasard n'a pas œuvré dans le bon sens.
Ceci dit, pour le futur, je serai plus attentif: promis.

A bientôt.
Michel qui    pour cette étude et ajoute la reproduction de la lettre citée en note 42:

...
Licorne, je te rassure: ce ne sont pas des employés municipaux qui œuvrent!

Si mes capacités technico-informatiques me le permettaient, je ferais écouter le bor bruit, enregistré depuis mon appartement... qui ne donne pas sur la rue!!! A 2h. du matin ça surprend!

A bientôt.
Michel

Labroquerie a écrit:

La seule qui aurait pu... Ambulant de nuit, tàd de la 1ère levée à l'arrivée
et bien non! Le bureau 79 (hors-liste) n'a droit à rien; du coup il boude et prend une journée pour acheminer cette lettre  jusqu'à la gare de l'Est

J'aurais dû préciser un peu mieux les dates de début de l'instauration de ces levées spéciales multipliées. C'est un peu plus tard que 1890. A cette date, le bureau 79 n'est qu'un bureau annexe, satellite du bureau 4, et appelé La Villette 3 dans les almanachs, appellation que ne reprend d'ailleurs pas Cuny dans les FM 219. La huitième levée, en 1890, est après le départ, la lettre a attendu l'ambulant de nuit suivant.

Citation :

ajoute la reproduction de la lettre citée en note 42

rhâââ ! nous l'eussions su plut tôt, ça aurait fait une belle illustration, et ton nom dans le journal. Dommage ... Le dateur 7.2 (semble) démontre(r) que la lettre a été déposée par le commissionnaire à la boite de la GDN après la dernière levée ordinaire de 17 heures. S'il y a un dateur au dos, il est probablement du 13 mai 1893 au petit matin, soit très exactement 60 ans avant ma naissance.

D.

Citation :

(m)on nom dans le journal

Le Graal!
J'en rêve

A bientôt.
Michel

bonjour,

un autre regret : les petits vélocipédistes de l'Agence Fournier prêts à filer à roue abattue dans toutes les directions. Ils ne sont pas forcément tous majeurs.




Dommage que je n'ai pas pu disposer d'un tel document pour la publication, même si ça aurait été compliqué de le récupérer, vu l'opacité des communication "inter-membres" hors commerce chez Delcampe (Business is Business).

D.

bonjour à tous et à à Doudad 
bravo pour cet article dans le dernier numéro de DP , j'ai appris beaucoup de choses en  lisant cet article et je vais (tenter ) de l illustrer avec quelques lettres mais je ne peux pas représenter tous les tarifs possibles pendant la période du Sage car ma collection ne comprends que le Sage SEUL sur documents 
[url=https://servimg.com/view/20081960/23][url=https://servimg.com/view/20081960/24][/url][/url]

petite précision il ne s'agit que de lettre du premier échelon de poids donc 15c jusqu'à 15 g 
la différence avec l 'affranchissement  correspond à la taxe de levée exceptionnelle 
qui varie  selon les délais et selon les dates (cf le très instructif article de Doudad cité plus haut )

bonsoir,

belles, les utilisations du Sage en seul sur LE ! Surtout le troisième délai à 75c., et des regrets de plus pour l'illustration de l'article. Les pièces que je montre (page 15, tarif de mai 1878) ne sont affranchies qu'en composé.

D.

La première lettre est très intéressante, elle montre (sauf enthousiasme excessif de ma part) l'intérêt de utilisation des dateurs à levées E2, E3 etc ... bien que depuis 1887, il n'y ait plus, en théorie, qu'un seul délai de levée exceptionnelle au prix de 15 (puis 5) centimes.


Annuaire du commerce Didot-Bottin 1897

En réalité, il a existé à la fin du siècle (vers 1894) des levées payantes supplémentaires au prix de la levée exceptionnelle de premier délai, qui offraient des délais supplémentaires (page 20 de l'article). Je pense que ces délais supplémentaires étaient largement inconnus des collectionneurs jusqu'à présent (mais ils n'ont plus d'excuse   ), et qu'ils expliquent la persistance des dateurs E2, E3, et jusqu'à E5 de création postérieure à 1887, qui n'auraient pourtant plus dû se voir dans le cas d'un délai unique.

La lettre de Fancharbraz, Saint-Denis E2 pour Toulouse, levée de 6h45, me semble s'emboîter tout à fait comme il faut.

Sauf erreur ...

D.

...
Pour ajouter une image



A bientôt.
Michel