HOROPLAN - AUTOPLAN

Bonjour à toutes et à tous,

Les heureux érudits de ce forum peuvent ils me confirmer que le cachet annulant ces timbre-taxe est un cachet HOROPLAN ? AUTOPLAN?




Sinon qu'est-ce ?
Si oui, connaissez vous une doc sur ce type d'oblitération?
Il me semble que les FM ont publié quelque chose sur ce sujet. Mais le sommaire des articles entre le numéro 101 et le 235 ne m'aide pas vraiment...
Je souligne que c'est le seul exemplaire rencontré en 10 ans (au moins) de recherches sur les oblitérations de ma ville...
Le fait qu'il ai servi à annuler les timbres-taxe me fait penser qu'il n'ai servi qu'en interne au bureau de poste, à titre administratif?

Par avance merci,
A bientot,
DaDo

Bonsoir Dado,

Selon la nomenclature de Lautier, c'est un cachet Rotoplan de type A5bis - millésime à deux chiffres inclus dans la ligne horizontale.
De mémoire, Autoplan est le nom du fabricant.

François

Bonsoir Dado,

Selon la nomenclature de Lautier, c'est un cachet Rotoplan de type A5bis - millésime à deux chiffres inclus dans la ligne horizontale.

François

Bonjour,
Je confirme — du moins presque — la première réponse de frame01, à savoir que les deux appellations sont synonymes pour certains marcophiles, mais je ne sais plus si Autoplan est le nom du fabricant ou au contraire Horoplan. J'ignore les raisons qui ont amené à cette confusion.
Petite remarque en passant, l'empreinte mécanique de St Jean de Monts, est celle d'une machine Sécap de type H, la première année de sa mise en service.
Lulu

Merci François,
Merci Lulu,

En effet les 3 apellations semblent exister.
Sur D* il y a :
- 854 références à HOROPLAN,
- 102 références à AUTOPLAN,
- 35 références à ROTOPLAN.

Toutes désignent (sauf erreurs fréquentes) le même type de cachet.
Il serait intéressant de savoir dans quelles sources littéraires elles aparaissent ...

A bientot,
DaDo

Bonsoir,

Lorsqu'ils sont apparus, fin 1929, les premiers timbres à date (à deux lignes) étaient fabriqués par une société dénommée "La Gravure mécanique Autoplan".
Comme leurs empreintes ont été rencontrées jusqu'à la fin des années 1990, ce n'est probablement plus la même maison qui les a fabriqués au long des décennies.
C'est pourquoi j'opte plutôt pour la dénomination due au Dr Goubin et adoptée par Cuny et Delwaulle afin d'éviter les appellations multiples qui sont souvent des déformations de langage: HORODATEUR. Elle permet de couvrir tous les tàd qui comportent ce système de dateur à déroulement (voir par exemple page 6 de l'étude des deux derniers auteurs cités "La timbres à date manuels de la recette principale de Paris de mars 1876 à nos jours" parue en supplément au n° 292 des Feuilles Marcophiles).