La grève pouvait affecter les services du départ, ou ceux de la distribution.
S'ils affectaient les services du départ, par simple logique on comprend qu'il puisse ne pas y avoir de dateur postal oblitérant (vu que c'est la grève).
Le courrier affranchi par l'envoyeur est regroupé à la chambre de commerce locale, qui oblitère avec les moyens du bord.
S'il y a grève à l'arrivée, le courrier n'est pas frappé au verso du dateur postal, mais pourquoi pas au recto d'un tampon administratif de la CC locale (vu CC Evreux 15/05/1909).
D.
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dubito, ergo sum