Recherche urgente.

Bonsoir,

Je recherche tous documents, articles, biographies......relatifs à un peintre français peu connu nommé Nestor-Auguste Ripolin. Cet artiste serait né à Paris en 1852 et ses croûtes auraient été refusées, malgré quelques relations, au Salon des Indépendants et ce, plusieurs années de suite. J'ignore à quelle école il était rattaché --- celle de Barbouillon d'après un ami peu sûr --- et quels étaient ses sujets d'inspiration. Je sais seulement, d'après une facture retrouvée par ma tante dans une vieille archive, qu'il était un grand consommateur de brosses plates n°6 et de queues de morue modèle 3 bien que n'ayant aucune attache lusitanienne pas plus que bretonne ( tout le monde ne peut être parfait ). Il aurait, vers la fin de sa trop courte vie, édité à ses frais, sans grand succès d'ailleurs, un petit opuscule intitulé:

" Le dernier tube de peinture "

ce qui acheva de le ruiner. Je reste à votre écoute et étudierai toute proposition sérieuse. Plaisantins s'abstenir!

Janon, c'est la couleur, en cause ; les peintures de ce virtuose de la soie de porc furent refusées car il eut fallu qu'il plaise en teints. Il finit donc par casser la croûte, ce qui permit à sa soeur de devenir célèbre comme vendeuse de puzzles.
Il n'était rattaché à aucune école, la maîtresse ayant cédé...... sa laisse à Désiré.

Michel, spécialiste de la gravure sur couenne de lard nouveau.

Janon a écrit:

Bonsoir,

Je recherche tous documents, articles, biographies......relatifs à un peintre français peu connu nommé Nestor-Auguste Ripolin. Cet artiste serait né à Paris en 1852 et ses croûtes auraient été refusées, malgré quelques relations, au Salon des Indépendants et ce, plusieurs années de suite. J'ignore à quelle école il était rattaché --- celle de Barbouillon d'après un ami peu sûr --- et quels étaient ses sujets d'inspiration. Je sais seulement, d'après une facture retrouvée par ma tante dans une vieille archive, qu'il était un grand consommateur de brosses plates n°6 et de queues de morue modèle 3 bien que n'ayant aucune attache lusitanienne pas plus que bretonne ( tout le monde ne peut être parfait ). Il aurait, vers la fin de sa trop courte vie, édité à ses frais, sans grand succès d'ailleurs, un petit opuscule intitulé:

" Le dernier tube de peinture "

ce qui acheva de le ruiner. Je reste à votre écoute et étudierai toute proposition sérieuse. Plaisantins s'abstenir!

Bonjour

Outré par votre manque de culture élémentaire, je perds un peu de mon précieux temps afin de vous sortir de votre ignorance :
Monsieur Ripolin est né à Donne-Marie, photo de sa maison natale,
ce qui pourri une grande partie de sa vie, personne n’ayant voulu lui donner la dite Marie prostituée fort chère et peu encline au bénévolat.
Son ressentiment le poussa à inventer le tag, puis le tag du tagueur, ce qui le l’amena naturellement à devenir le 1° à pratiquer le tag du tagueur taguant un tagueur et fit de lui un perpétuel innovateur au fur et à mesure que le nombre d’imitateurs augmentait.
(Cette version admise par les plus grands spécialistes est toutefois contestée par d’obscures pisse- vinaigre qui s’appuyant sur cette photo, prise par un paparazzi visionnaire, affirme que ce don fut en fait obtenu par manipulation génétique… Je pouffe…)
Il n’eut pas d’autre sujet d’inspiration et mourut subrepticement d’un accident de concombre.
Par contre je vous incite vivement à ne plus fréquenter votre ami peu sur qui vous fit passer pour un pupazzo de pacotille auprès de cette noble assemblée en vous faisant confondre « l’école de barbouillon » avec « la colle de barbe à bison » invention inutile de madame Rippe Pauline ( je repouffe). Vous trouverez les détails de sa vie dans le fameux brulot « Les Détails de la Vie de Fernand Ripolin » édité chez Plomb .
Mon cher Janon votre soif de culture vous honore mais permettez que je vous parle en frère, la moquette dont vous semblez user avec peu de modération semble frelatée par quelque coupages aléatoires ; évitez, si faire ce peut, le tabac nocif à la santé. Fi
Cordialement.
Pierre